Wednesday 21 March 2007

Profile

21st March 2007 - The wild ramblings of a WOWhead.

As an introduction to myself and my WOW addiction http://armory.wow-europe.com/character-sheet.xml?r=Anachronos&n=Bobflintston

A level 62 Dwarf Hunter with no special knowledge to pass on, just an attempt to document my WOW activities.

I am still a relative Noob to the game having played for about 9 months now. Bob is my main with a handfull of Alts setup, to help distract me from the task of fully leveling in the shortest time. There are hundreds of ways of playing this game, and mine is about trying to round off my Toons with as many skills as possible. I originally setup enough characters to master all the trades/skills and this can be a time consuming activity, spending hours at the postbox and the AH.

My first Toon - Dumpyrustnut was the simplistic Warrior - charge - crash - kill or be killed variety. I dragged him to the low 20's and then created Bobflinston. I read about the Hunter having a pet and thought that this must be a bit more challenging. My wife who is not usually interested in Computer Games - took an interest and also created a Hunter - Wilmaflint.

The Roster soon looked like this:

Bobs Team
Dumpyrustnut - Dwarf/Warrior - Mining/Blacksmith
Bobflinston - Dwarf/Hunter - Skinner/Leatherworker
Greatboo - Gnome/Rogue - Engineering/Enchanter
Buffster - Human/Lock - Herbalist/Alchemist

Flim's Team
Wilmaflint - Dwarf/Hunter - Miner/Engineering
Flimsystone - Night Elf/Hunter - Skinner/Tailor

This created a nice created a nice little production line where nothing went to waste. As a Noob, I wanted to do everything inhouse, not realising that this is where a good Guild comes in very handy.

It was Flim who discovered the joys of a good leveling Guild, and Bob was soon drafted in to enjoy the banter and the free assistance/gifts that came with the Guild. was one big happy family, and Flim was starting to get as addicted as Bob to WOW.
The biggest problem was that we were sharing one computer and fights were starting to breakout in the Bob household. After 4 months of this unhappy situation it was decided that a second computer might not be such a bad investment.

During this time Flim became a serial - grouper and Bob became a lonely solo hunter (In my opinion this is how the Hunter should be played). Flim also suffers from Altism, which is a most debilitating disease, affecting the ability to level the main Toon.

Bob and Flim remained 10 levels apart for several weeks and so grouping was not so much fun for Bob, playing the minder. Being a Noob and a solo Hunter, I tended to only do the instances when Flim was ready, this of course meant easier quests and less XP.

When Bob hit Level 50 - The Burning Crusade was released. The mass exodus of Level 60's who had previously been helping people to level, doing endless instances, disappeared overnight. Bob discovered that Felwood, Winterspring, Western Plaguelands, Un'goro had become deserted. The Noob was left to grind his way up - leveling every 3-5 days.

When I finally hit 58 whilst doing the quest chain for the Fallen Hero of the Horde, it was too late jump through the portal. So off to bed on a high, with a day at work to read about what awaited me in the Outlands.

In the end I rushed home from work, jumped through the portal, ran to the Gryphon point, flew to Honor Hold, obtained the Master levels for Skinning/Leatherworking/Cooking and flew back to Azeroth to level up to 60.

My logic being that everybody else had gone at level 60 with Tier armour and weapons and that a Noob 58 Hunter was just cannon fodder for the Legion and the Horde. Having been squashed several time by a Fel Reaver I was probably right to do so.

Anyway up to date, I am now Level 62 and just about to complete most of the solo quests in Hellfire. It's time to find some friends/guild/PuG to bash the Horde into oblivion.

1 comment:

olafvancleef said...

Famille Van Cleef
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Couple appartenant à la communauté juive néerlandaise au XVIIe siècle (Rembrandt)Van Cleef est un nom de famille européen rendu célèbre par la firme Van Cleef & Arpels.

Sommaire [masquer]
1 Eléments d'histoire sur les noms de famille des familles juives européennes
2 Origine du patronyme Van Cleef
3 Dissémination du patronyme van Cleef à partir du XVIIe siècle
3.1 Les van Cleef d'Overijssel
3.2 Les Van Cleef américains
4 Débat sur les origines de la famille
5 Persécutions sous le troisième Reich
6 Les Joailliers
7 Voir aussi
7.1 Articles connexes
7.2 Références externes
7.3 Bibliographie
7.4 Notes et références



Eléments d'histoire sur les noms de famille des familles juives européennes [modifier]
Traditionnellement, dans les familles juives européennes, la personne recevait un nom spécifique suivi par le patronyme et (de façon facultative) par un surnom[1]. Elias Jacob, par exemple, veut dire Elias fils de Jacob; Jacob Abraham, Jacob fils d'Abraham.

C'est entre la fin du Xe siècle et du XIVe siècle que s'est peu à peu installée en Europe la coutume du nom venant s'ajouter au prénom. C'est sans doute la constitution d'une forme d'administration politique qui oblige à cette précision. Pour administrer une population, lever les impôts, organiser une armée, il faut pouvoir identifier les individus de manière personnelle et non plus relationnelle. Cependant il n'existait pas d'obligation pour un individu de porter le même nom de famille que son père, mais seulement un nom qui le distingue de ses homonymes. De plus il ne s'agissait pas d'une véritable contrainte. En France, par exemple, l'ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539 fait obligation aux prêtres de tenir les registres paroissiaux pour les catholiques, mais rien n'est spécifié pour les juifs ni plus tard pour les protestants[2].

Aux Pays-Bas, c'est au XVIIe siècle que se forme un nouveau système d'identification des individus par un nom unique de famille. Et ce nom devient une manière commode d'identifier la famille par son « chef ».

Au moment du partage de la Pologne en 1772, la Galicie est rattachée à l'Autriche. Joseph II décide alors de faire obligation aux familles juives de se doter d'un nom de famille. Un premier décret en 1787 concerne la Galicie. Entre 1790 et 1834, suivront d'autres décrets introduisant cette obligation dans les états de Bade, de Hesse, de Westphalie, de Prusse, de Bavière et de Saxe. La Suisse adoptera la même mesure en 1863[2]. Les personnes qui refuseraient de se plier à la loi se voient affublées de noms ridicules ou inventés de toutes pièces[2].

A la fin de la révolution française, la loi du 6 fructidor an II consacre le principe d'immutabilité du nom de famille et c'est Napoléon qui impose le port d'un nom à chaque individu dans les territoires occupés. À partir de 1808 toutes les familles juives doivent choisir un nom en observant les conditions suivantes :

Ne seront pas admis comme noms de famille aucun nom tiré de l'Ancien testament, ni aucun nom de ville.[2]

Il existe cependant des exceptions. Certains avaient choisi leur nom avant le XVIIe siècle, notamment les hommes qui avaient fait la guerre où voyagé à travers l'Europe. Les prénoms hébraïques étant à cette époque en nombre restreint, les autorités militaires avait limité la prolifération des homonymes en imposant aux soldats de choisir un nom propre. Aussi le texte de 1808 spécifie que cette règle ne vaut pas pour les juifs de nos États ou les juifs étrangers [..] lorsqu'ils auront des noms et prénoms communs et ce même si ceux-ci proviennent des villes qu'ils ont habitées[2]. Il n'est donc pas étonnant de retrouver des familles juives néerlandaises portant des noms qui indiquent leur origine géographique, par exemple la famille Van Cleef.


Origine du patronyme Van Cleef [modifier]
Une légende amalgame ce nom à celui de la famille des princes de Clèves, en traduisant littéralement van Cleef par « de Clèves ». Mais la particule van n'est pas forcément nobiliaire. Il s'agit d'une préposition courante : par exemple Van Rijn signifie du Rhin. Van Cleef ou Van Kleef signifie donc également « venant de Clèves », cette ville de Rhénanie-Westphalie à la frontière néerlandaise qui au XIVe siècle avait donné son nom à une vaste région, le duché de Clèves dont une partie, l'ancien Duché de Gueldre, se trouve aujourd'hui aux Pays-Bas.

Les familles Van Cleef ou Van Kleef de l'Overijssel sont d'origine juive et peuvent avoir choisi ou reçu ce surnom en raison de leur origine géographique[3]. Les régions de l'Overijssel et de Gueldre sont voisines et séparées par l'IJssel. On trouve également mention de Van Cleef dans les archives du Brabant voisin dès le XIVe siècle.

L'orthographe du nom se fige en Europe autour des années 1875, en France en 1870 par la création du livret de famille. C'est à partir de cette date que se différencient les Cleef et les Kleef.


Dissémination du patronyme van Cleef à partir du XVIIe siècle [modifier]
Beaucoup d'archives municipales ont été détruites aux Pays-Bas durant les conflits et les recherches généalogiques sont complexes. Au cours des guerres du XVIIe siècle (Louis XIV), de nombreux Hollandais (fuyant l'envahisseur et l'eau qui allait recouvrir leur province) émigrent en Angleterre, en Allemagne ou en Amérique.

En généalogie, dans les familles juives, les chercheurs doivent tenir compte de fortes présomptions de fratrie quand les prénoms hébraïques sont similaires et que les personnes viennent du même village. Dans le cas des Van Cleef, ils ne connaissent pas de van Cleef ayant résidé dans la ville de Clèves. Les premiers actes les font demeurer à Zwolle et Hasselt (Pays-Bas).


Les van Cleef d'Overijssel [modifier]
Les familles Van Cleef (descendant de Salomon Abrahams Van Cleef, 1690-Décédé après 1789[3]) sont rares en Europe. L'unique famille restante représente une quinzaine de membres aux Pays-Bas et en France. Pour information, plus de 150 descendants de Salomon Abrahams Van Cleef résident en Israël, mais aucun ne porte le nom de Van Cleef.


Les Van Cleef américains [modifier]
Dans le cas des Van Cleef américains, ils sont tous descendants de Jacob dit Jan dit John Van Cleef, décédé en 1698 à Long Island[4], notamment l'acteur Lee Van Cleef.

La pertinence de ce passage est remise en doute. Considérez-le avec précaution. Discutez-en ou améliorez-le !

Il semblerait que les diverses familles Van Cleef du nouveau monde ne cherchent pas à connaître leurs liens entre elles, car cela amènerait à reconnaître leurs origines juives et certaines familles ne veulent pas en entendre parler [réf. nécessaire]. Jacob, plus tard appelé Jan, (puis aussi appelé John) utilisa pour ses enfants des noms hébraïques. Mais avec les générations et les mariages chrétiens, les souvenirs et la tradition des prénoms hébraïques se sont estompés. Seul le nom Van Cleef est resté.

Afin de distinguer entre elles les familles Van Cleef actuelles, il suffit pour les réunir de rechercher les prénoms des chefs de familles et leurs villes d'origines aux XVIIe et XVIIIe siècles. Mais compte tenu des nombreuses destructions d'archives, les généalogies ne peuvent être authentifiées.


Débat sur les origines de la famille [modifier]
Reste un dernier point qui intrigue de nombreuses familles : certains Van Cleef se disent sépharades, d'autres ashkénazes. Les Portugais sont arrivés aux XIVe et XVe siècles. Mais d'après de nombreuses archives du Brabant il existait des familles Van Cleef, marchands de tourbes et bouchers, au moment de la Peste noire (1347 - 1351), ce qui semble indiquer que le patronyme est d'origine ashkénaze.

Quand les riches sépharades portugais s'installèrent à Amsterdam, ils firent alliance avec des familles ashkénazes, ce qui explique que certaines branches des Van Cleef soient peut-être devenues sépharades par les femmes (dans ces mariages "mixtes", c'est le rite du mari qui prédomine).

Au XIXe siècle certains Van Cleef, à Amsterdam , firent des donations à la synagogue - sépharade - des Portugais, d'autres à la synagogue - ashkénaze - des "juifs allemands".


Persécutions sous le troisième Reich [modifier]
Sous le troisième Reich, le régime nazi a détruit cette famille d'une manière méthodique.


Les Joailliers [modifier]
Le patronyme Van Cleef est surtout connu du grand public à travers la firme de joaillier Van Cleef & Arpels . Alfred Van Cleef , fondateur de " Alfred van Cleef & Salomon Arpels sarl" en 1896 à Paris, est l'arrière petit fils de Mozes Salomon Van Cleef né en 1753 à Haskerland (Pays-Bas), lui-même fils de Salomons Abrams Van Cleef I.